Articles de mars 2009

Le Gîte écologique du Nico !

A quelques semaines des vacances, je vous invite à aller découvrir la page web du Nico si vous voulez venir passer quelques jours tranquilles dans notre beau pays Aveyron…

Un vrai hâvre de paix !

Un vrai havre de paix !

Située à moins de 15 minutes de la capitale du Rouergue, Rodez, et entièrement rénovée en matériaux écologiques, cette belle bâtisse du 19ème siècle mérite le détour !

Vous êtes adepte du repos bien mérité, de balade en campagne, de calme et du bruit du ruisseau qui coule alors que vous êtes confortablement installé sur la terrasse en train de lire le bouquin qui squatte près de votre lit depuis près de 6 mois, et qu’enfin vous trouvez le moment de reprendre à la page 22…

Ce gîte est donc fait pour vous !

Vous êtes curieux de découvrir ce beau pays qui est le nôtre… Templiers, période médiévale, festivals en bastide, culture occitane, le Larzac et ses luttes, viaduc de Millau, Cathédrale de Rodez, produits bio, grande gastronomie, (aligot, roquefort…), patrimoine chargé d’histoires à découvrir, futur Musée Soulages…

Vous n’êtes loin de rien pour pas plus cher qu’un appartement à New York !

Allez, après cette année de travail bien harassante, je vous conseille le « gîte du Nico », pour passer quelques jours de tranquillité, dans un environnement sain, loin des antennes relais !

Et puis, passez donc sur la page web pour découvrir l’histoire de cette rénovation extraordinaire, ou comment quelques années de dur labeur ont permis de faire naître un véritable havre de paix dans un magnifique écrin de verdure ! : http://giteecologique.blogspot.com/

K., le « gîte écologique du Nico », elle aime, voire même, elle adore ! Faîtes passer !!!

Comment ça, je pense trop aux vacances moi ?!?! N’importe quoi !

XOXO

K.

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Un dimanche au soleil !

Aujourd’hui, dimanche, dernier regretté jour de la semaine, et veille du terrible jour de reprise du travail…

Avant, je détestais les dimanches… Je m’ennuyais à mourir, tout était trop calme, le couvre-feu était imposé, sauf à 10 heures pour la messe où se rendaient quelques un de mes concitoyens… Bref, une journée où la dépression pouvait rapidement attaquer.

Évidemment, je ne peux pas dire qu’aujourd’hui j’adore les dimanches à la folie ! Non, ce serait bien trop exagéré… Disons que je les apprécie de plus en plus ! Enfin, jusqu’à une certain heure, bien sûr, qui me rappelle que, le lendemain, le réveil va sonner et m’obliger à aller retrouver mes collègues avenants et qui m’ont tant manqués…

Premier petit déjeuner sur le balcon

Premier petit déjeuner sur le balcon

Et ce matin, le soleil était au rendez-vous et mon amoureux a eu la bonne idée de nous faire prendre le petit déjeuner sur le balcon… Quelle excellente idée ! Alors, à la réflexion, comment ne pas aimer les dimanches quand les autres jours de la semaine, on court partout et qu’on a pas le temps de s’arrêter juste un peu… Surtout quand le printemps commence à pointer le bout de son nez !

XOXO

K.

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Juste 18 centimes…

Nous sommes samedi…

Habituellement, je vais au marché avec mon amoureux le samedi…

Habituellement, au sortir de l’hiver, le samedi, au marché, il fait plutôt gris… Mais ce matin, le soleil était au rendez-vous, et nous sommes partis, tout guillerets, faire notre petit marché…

Je me suis dit en partant, que je pourrai vous mettre en photo les premières primevères de la saison. Que je pourrai vous parler du beau temps, du plaisir que je ressens à me balader dans entre les étals, à humer les odeurs variées, à rencontrer des amis, bavarder à un coin de rue, inondés par un soleil presque printanier, à rire, et profiter de ce petit moment de sérénité au milieu du marché…

Habituellement, c’est ce que je vous aurai raconté…

Mais je voudrai vous raconter autre chose… quelque chose qui s’est passé ce matin… sur mon marché :

Une dame était devant moi à la Boulangerie. Une dame qui, quand elle achète son pain, vide le contenu complet de son petit porte monnaie rouge sur le comptoir pour acheter une demi baguette de pain. Et cette dame n’avait pas assez pour une demi-baguette de pain… Elle a demandé à la vendeuse de lui recouper la moitié de la baguette, mais elle a refusé. Elle ne pouvait pas recouper… Mais la dame n’avait pas assez… Appuyée contre le comptoir de la boulangerie, la dame continuait à insister… Moi, j’étais à côté, et d’une oreille discrète, j’écoutais et je regardais la scène sous mes yeux étonnés se dérouler. D’autres auraient attendu leur tour sans broncher. Mais moi, je ne sais pas ne pas broncher ! Je me suis demandée comment elle allait réagir si je mettais le complément pour qu’elle puisse repartir avec sa demi-baguette. Prendrait-elle cela comme un geste insultant… Accepterait-elle ?

Et puis sans réfléchir, et devant le peu de compassion de la vendeuse pour la dame au petit porte-monnaie rouge, je me suis approchée, et j’ai demandé combien il manquait… 18 centimes… Spontanément, j’ai attrapé une pièce de 20 centimes dans mon porte monnaie, et l’ai posée à coté des autres pièces de centimes. La dame au porte monnaie rouge vide s’est retournée et m’a remerciée.

Je me suis assurée, avant de quitter la boulangerie, qu’elle repartirai bien avec sa demi-baguette de pain. Ce n’est qu’un petit geste et ce n’est pas le geste qui compte.

Je suis en colère… Cette dame aurai pu être la mère de quelqu’un que je connais, ou ma mère… Demain, cela pourrait être moi… Mon pays était un pays où il faisait tellement bon vivre… C’était la France… Un jour, ma France s’est découpée en celle d’en haut et celle d’en bas… Je ne me souviens pas du moment exact où ça s’est passé.

En attendant, la France d’en bas commence à avoir faim…  La France d’en bas est devenue la sous- France, celle qui n’est que souffrance.

Mais dites moi, une question me taraude l’esprit… Vous ? Qu’auriez-vous fait à ma place ?

K.

PS : le pied de primèvères etait aujourd’hui à 90centimes…

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Dure réalité

Trois journées d’escapade en capitale… Un vrai régal ! Je me suis d’autant plus régalée que j’ai assisté à une formation si intéressante que je n’ai presque plus envie de faire tout le reste… ;o) C’était totalement prévisible de toute façon !

J’ai aussi fait d’une pierre deux coups, j’ai vu des gens que j’aime et qui m’aiment, et ça c’est vachement sympa ! Ca réchauffe le coeur, ça remet les choses à leur place, ça fait relativiser. Et ça fait tellement de bien d’être comprise du premier coup… Tout simplement !

Mais il a fallu rentrer… J’adore rentrer ! Retrouver mon amoureux qui m’a tant manqué, pouvoir me blottir contre lui ! J’adore notre petite maison, notre cocon douillet, dans lequel je me sens si bien ! J’adore ma petite vie avec lui ! J’adore ma vie en fait !

Mais il a fallu rentrer… Et le dur retour à la réalité est le suivant :

– un travail toujours aussi peu intéressant, et pleins de trucs entassés sur mon bureau, à faire, et dont personne ne veut (alors que ça pourrait être traité de suite, mais bon… Il paraît que dans certaines entreprises privées, cela n’arrive qu’une fois, qu’une seule, et que cela ne se reproduit pas… Mais on ne peut pas contraindre un fonctionnaire à travailler…)

– une ambiance de travail de très grande qualité où la politesse est parfois inexistante et où entendre un bonjour relève du miracle,

– des décisions prises sans concertation, imposées aux gens qui vont, bien sûr, freiner de plein fer pour s’exécuter… Je ferai pareil à leur place… Et d’ailleurs, je fais parti du lot !

– bref, je savais bien que ça n’allait pas durer… c’était le calme avant la tempête… et c’était beaucoup trop calme…

Allez, on reste positif !

K.

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Direction Librairie !

Aujourd’hui, samedi… Un beau ciel bleu chapotte notre petite ville et le soleil illumine nos rues étroites… C’est samedi, c’est jour de beaucoup de choses le samedi !

– Le marché, c’est le samedi… Nous irons donc y faire un tour. Et peut être trouverais-je une petite histoire à vous raconter. Ou une recette à vous donner… On verra !

– Le goûter, c’est aussi le samedi… Une petite dégustation gourmande chez Cécile et aimé avec les copines en fin d’après midi ? Oui, pourquoi pas ! Hop, c’est planifié !

– Le shopping du samedi… Oui, peut être, mais toujours avec modération (cette année, notre séjour à New York réduit considérablement le  nombre de « samedi shopping » !!!)

– Ce soir, repas entre amis… Je trouverai bien une petite bouteille de vin, dans ma cave improvisée, à offrir pour accompagner les délicieux mets qui seront préparés par une cuisinière hors pair !

p1000072Mais pour l’instant, une question me trotte dans la tête… Qu’offrir à ma petite maman pour son anniversaire ???? C’est lundi… J’ai plein d’idées, mais celle qui semble la plus adaptée reste toujours et encore le bon gros bouquin de plus de 300 pages, contant une histoire romanesque en plein coeur de nos régions, avant ou après guerre ! Ca, je sais qu’elle aime !

Donc, cet après midi, direction librairie !

Et non, mauvaises langues, ce ne sera pas l’occasion pour moi de trouver un énième livre sur New York… Non, non, non ! ;o)

XOXO

K.

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Mention en marge

Le laisser passer

Le laisser passer

Pour notre virée américaine, il nous manque l’indispensable outil, le petit carnet qui vaut « laisser passer », celui qui nous permet de franchir les frontières sans se soucier : le passeport !

Pour nous, ce serai plutôt un « laisser survoler l’océan », car une seule frontière nous sépare.

Pour obtenir ce petit carnet, il faut vous munir (je vous le dis au cas où vous ayiez besoin d’en faire un) de la copie intégrale de votre acte de naissance. Hop, hop, ni une ni deux, les Mairies proposent maintenant de faire ce type de demande par mail, je me connecte sur le site de la Mairie de Montpellier, et trois jours plus tard : ma boîte aux lettres contient la fameuse copie  certifiée conforme ! vive l’administration électronique !

Alors, machinalement, j’ouvre l’enveloppe et, intriguée, je me dis : « Tiens, il y a quelque chose de changé ce truc »…..

Mais oui, c’est bien une mention en marge…

Etourdie que je suis, j’avais oublié que notre PACS serait inscrit sur nos actes de naissance respectifs ! Rassurée que ce ne soit pas une inscription au répertoire civil (on ne sait jamais, le monde est tellement imprévisible !), je suis bien contente de voir le nom de mon amoureux, à côté du mien, malgré le fait que nous ne soyions pas mariés !

Comme quoi, il n’y aura bientôt plus aucune différence entre le mariage et le PACS ! A réfléchir !

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Notre appartement américain au vert !!!!!

New york, New Yooooork

New york, New Yooooork

Voilà, c’est fait ! Nous avons trouvé un appartement pour nos vacances à New York ! En plein milieu de l’East Village…

Dans ce quartier branché populaire de Manhattan, un tout petit appartement à proximité du métro (ou d’un métro), dans un immeuble où l’on peut accéder au toit et avoir une vue sur les arbres au loin…  Je vous montre la photo :

Et hop, des arbres !

Et hop, des arbres !

Ce qui me paraît totalement improbable : avoir une vue sur des arbres à New York alors qu’on ne donne pas sur Central Park !!! Donc petit appartement rarissime en plein New York City !

Pour vous faciliter la géographie , je vous mets une carte ci-dessous :

Plan de Manhattan en 3D !!!

Plan de Manhattan en 3D !!!

Voici donc une carte de Manhattan, où on voit bien Central Park ! Ben c’est pas du tout là qu’on va habiter ! Pas du tout !

Sur la carte, on voit des carrés verts beaucoup plus petits, et bien le nôtre, c’est celui qui est juste au-dessus de l’inscription EAST RIVER (dans le bleu !), entre le E et le A ! D’ailleurs, si vous chaussez bien vos lunettes, vous pourrez lire à côté du rectangle vert : EAST VILLAGE !

Nous, on va là !

XOXO

K.

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Y’a-t-il quelque chose au-delà de l’arc en ciel ?

Un incontournable :

free music

Quelque part au-delà de l’arc-en-ciel
Bien plus haut
Il y a une contrée dont j’ai entendu parler
Une fois dans une berceuse
Quelque part, au-delà de l’arc-en-ciel
Les oiseaux bleus volent
Et les rêves dont tu as rêvé
Ces rêves deviennent vraiment réel

Un jour je ferai un souhait en regardant une étoile
Et je me réveillerai à l’endroit où les nuages seront loin derrière moi
Où l’ennui fond comme des gouttes de citron
Bien au-dessus des cheminéss, c’est là que vous me trouverez.

Quelque part au-delà de l’arc-en-ciel
Les oiseaux bleus volent
Et le rêve qui te pousse à, pourquoi, oh pourquoi je ne peux pas ?

J’aperçois des arbres verts
Des roses rouges également
Je les verrai s’ouvrir pour toi et moi
Et je pense tout bas
Quel monde merveilleux

Je vois des cieux bleus et des nuages blancs
Et l’éclat du jour
J’aime le noir et je pense tout bas
Quel monde merveilleux

Les couleurs de l’arc-en-ciel, si jolies dans le ciel
Sont aussi sur les visages des passants
Je vois des amis se serrer la main
Se dire « comment vas-tu »
En réalité ils se disent « je t’aime »
J’entends des bébés pleurer et je les vois grandir
Ils apprendront bien plus
Que je n’en saurai jamais
Et je pense tout bas
Quel monde merveilleux

Un jour j’aimerai être sur une étoile
Me réveillez là où les nuages seraient loin derrière moi
Là où l’ennui fond comme un citron tombe
Au-dessus des cheminées, c’est là que vous me trouverez
Quelque part au-dessus de l’arc-en-ciel, toujours plus haut
Et le rêve qui te pousse à, pourquoi, oh pourquoi je ne peux pas ?

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Le retour de K.

Oui, je sais… Ca fait bien longtemps que je n’avais point publié de post sur mon blog… 3 mois exactement.

Mais, peut être que ce temps fut nécessaire pour se poser et faire une pause. Et les posts que j’aurai écrit n’auraient été remplis que de colère. Et rien de bien ne serait sorti de cela…

Pendant cette pause, j’ai écrit ailleurs, sur Facebook, au jour le jour, sur mon ordi, pour soulager ma colère, pour soulager une histoire qui date maintenant, et sur du papier parfois. Mais quand je vois mes étagères remplies de carnets d’écriture, je me dis que tous ces mots sont moins encombrants, au sens propre comme au figuré, dans le disque dur de mon portable !

Alors me revoilà !

J’ai commencé par une recette, avec du chocolat ! C’est plein de magnésium et c’est sensé faire du bien au moral.

Et puis, je m’en voulais de vous avoir laissé tomber… Je vous avais promis des articles sur mon marché du samedi, sur la préparation de notre épopée à New York City, sur le travail, en particulier et en général. Il y aura certes encore un grand nombre de coup de gueule (que voulez-vous, je suis comme ça, on ne me changera pas !), et des recettes aussi, comme ça tout le monde sera content !

Maintenant j’ai des potins à vous raconter en plus… Alors, je peux pas garder ça pour moi !

Et puis, je ne sais pas si vous savez, mais vous pouvez vous inscrire sur ce blog, ce qui vous permet de recevoir mes posts directement dans votre boîte mail perso ! C’est automatique et c’est magique ! Et c’est surtout parce que quelqu’un s’est inscrit dernièrement que je vais reprendre mon journal sur la toile !

Alors à bientôt !

XOXO

K.

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Des petits fondants à faire fondre !

Dimanche, jour de pluie…

Les questions se rejoignent toutes sur Facebook : que faire aujourd’hui ? Les propositions ont été nombreuses ! Entre aller au cinéma, se rendre au musée (premier dimanche du mois, donc gratuité…), faire des gâteaux ou le ménage, et ouvrir des cartons après un déménagement, j’ai pris la troisième option !

Et j’ai toujours voulu essayer de faire des fondants au chocolat. Mais pas des faux… Des vrais… Avec un coeur en chocolat qui coule quand on a plongé la cuillère à l’intérieur du gâteau !!! Un fondant de gourmand !

Munie de mon tout nouveau moule en silicone acheté ce matin (j’ai préféré plutôt que d’encombrer mes placards pleins qui n’auraient pas pu accueillir même les plus petits ramequins…) je me suis lancée, un peu à l’aveugle, dans la réalisation des fondants de mes rêves !

Une première tentative avortée avait été faite lors d’une soirée de réveillon, mais le résultat, causé soit dis en par notre four à problème (ce qui est faux !!!), ne nous avait pas donné satisfaction… Pourtant, ils avaient bien cuit 20 minutes… Je n’étais pas prête à retenter l’expérience avant un moment.

Mais en voyant le temps ce matin, la bruine tomber, le ciel gris et la fin du week end arriver, je me suis convaincue du remontant qu’il nous fallait : le fondant au chocolat des gourmands.

Après moultes recherches, sur le web, sur Facebook (merci Véro pour ta super recette, mais je n’ai pas de moule à manqué ! Je la mettrai en pratique une toute prochaine fois !), dans les livres, j’ai enfin trouvé ce que je cherchais !

6 merveilleux fondants

A votre tour d'essayer !

Je vous livre ci-dessous la formule magique de ces petites merveilles ! Lancez-vous, c’est d’une simplicité enfantine !

Préparation : 15 min
Cuisson : 15 min

Ingrédients (pour 4 personnes) :

– 100 g de chocolat à pâtisser
– 8 carrés (5 g environ, selon la tablette)
– 3 oeufs
– 60 g de beurre
– 20 g de farine
– 80 g de sucre
– 4 ramequins (ou un moule en silicone !!!)

Préparation :
Préchauffez le four à thermostat 8 (250°C).
Faites fondre les 100 g de chocolat. Ajoutez le beurre.
Dans un saladier, mélangez les oeufs, le sucre et la farine. Incorporez-y le chocolat et mélangez.
Beurrez et farinez les ramequins. Versez-y le tiers de la préparation, puis déposez 2 carrés de chocolat dans chaque ramequin. Recouvrez du reste de la préparation.
Placez les ramequins au four 10 mn à 15 mn.
Dégustez les ramequins tièdes, démoulés ou non.

Bien sûr, ceux qui me connaissent bien savent pertinemment que je ne suis pas une fan de cuisine et que la pâtisserie est encore moins mon dadas, voici donc ce que j’ai quand même réussi à rater (normal, comme diraient certaines personnes que j’aime de moins en moins « Y’a que ceux qui font rien qui font pas d’erreur », moi je dis « Personne n’est parfait ! » lol ) :

– Oublié de beurrer et de fariner mon moule : résultat, le fond était un peu collé, mais j’ai quand même réussi à les démouler;

– Oublié d’acheter le principal aussi : la crème anglaise, car même si je ne suis pas bonne pâtissière, je n’en reste pas moins gourmande !

Ouh là là, mais il est bientôt 16h30, et mon amoureux trépigne à l’idée de goûter !

La prochaine fois, je vous parlerai de mon tiramisu. Il est à tomber il paraît ;o)

Bonne fin de week end !

XOXO

K.

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