Et bien voilà, nous y sommes : à la maison ! Nous sommes rentrés et je n’ai pas eu une seconde pour vous faire vivre notre aventure messine en temps réel… Je vais donc essayer de me rattraper dans cet article !

Premièrement, comme je m’y étais engagée, je suis partie à la recherche du gros bretzel ! Comme d’habitude, la preuve en image vous expliquant ma déception :

A gauche, un bretzel de Noël, et à droite un « petit » bretzel…

Vous comprenez donc à quel point j’ai pu être déçue en voyant ces touts petits modèles… Cependant, j’ai sauté sur l’occasion, j’ai acheté les deux modèles et nous en avons profité pendant le voyage retour !

Histoire de satisfaire un petit creux en rentrant à la maison !

Le Palais du Gouverneur 1902-1905

Pour ceux qui ne sont pas hyper doués en histoire, je me permets de vous rappeler que la ville de Metz (et la Moselle en général) a été annexée par l’Empire Germanique de 1871 à 1918. Lors de cette annexion, les civils allemand venus s’installer à Metz ont laissé l’empreinte de leur puissance par la construction d’extraordinaires bâtiments, faisant de certains quartier un véritable catalogue de l’architecture allemande. Je vous invite à aller vous balader sur ce site pour découvrir de magnifiques façades situées à la limite du quartier impérial de Metz. Bonne visite !

Troisièmement, Metz, c’est une ville glamour… Si vous êtes accros du shopping, Metz sera votre paradis ! Il ne manque pas une marque, pas une boutique dans laquelle vous pourrez dilapider tout votre argent en fringues ! Jamais je n’avais vu dans un secteur si concentré, autant d’enseignes, de franchises et de petites boutiques de vêtements. Le centre de Metz, c’est aussi un des plus grands plateaux piétonniers de France… Pas une voiture pour vous gêner dans votre déambulation dépensière ! Vous pouvez révasser l’esprit tranquille en lechant littéralement les vitrines ! Seul le passage incessant des bus urbains pourrait vous déranger. En tout cas, Metz c’est le chic au coeur de la cité ! (Je n’ai rien inventé : Quand vous arrivez à l’Office de tourisme de Metz, on vous fournit un plan intitulé : Metz, ville glamour, le chic au coeur de la cité. Vous êtes prévenus… )

Et enfin, Metz, c’est aussi l’endroit des choses surnaturelles, l’endroit où on vous alerte sur le passage d’animaux atypiques, plutôt rares :

Attention, passages de renne fréquents

Comme quoi, pour qu’il y aient des rennes dans les parages, bien connus pour affronter le froid hivernal, c’est bien qu’à Metz, on se les gèle !

XOXO

K.

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L’association WAMP (Femmes contre McCain et Palin) : Ulcérées par la position anti-avortement de Sarah Palin, qui avait un jour déclaré : « Je m’opposerai toujours à l’avortement, même si ma propre fille devait se faire violer », elle vient de recueillir le témoignage d’une jeune fille dans un spot bouleversant.

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Metz... Terminus du voyage

Ca y est, nous y sommes ! Comme prévu, plus de 8 heures de route, mais le soleil était au rendez-vous tout le temps. La circulation fut très fluide sur la majeure partie du trajet, nous étions même seul pendant une bonne trentaine de kilomètres sur l’autoroute (entre Châlon sur Saône et Dijon). Par contre, le tronçon Nancy-Metz était fortement encombré, normal entre 17h et 18h30, ça roule pas mal… Seule frayeur de la journée, un accident à proximité de Metz, sur l’A4, qui a fait 39 blessés; mais après avoir étudié la carte, je me suis aperçue qu’on ne l’emprunterai pas ! Ouf… Nous voilà donc arrivés à destination !

Laissez moi donc vous guider dans Metz, telle que nous la verrons avec mon amoureux, mais en tout cas agonisante de circulation… Nous avons risqué de nous faire écraser 2 fois lundi, et d’ailleurs, la seconde fois, nous n’avons pas manqué de faire savoir notre mécontentement en criant un grand « Ho ! » particulièrement bien synchronisé !

Pour notre premier jour dans la cité messine, nous avons donc pris le bus et sommes parti nous balader dans le centre ville.

En bonne citadine, j’adore regarder le mouvement des villes. J’aime aussi leur architecture. La pire chose qui puisse m’arriver serait de me retrouver dans une grande maison, au vert, en plein milieu de nulle part… Je crois que je me sentirai comme morte ! Les villes me font sentir que je suis vivante, dans le mouvement.

• Premier constat : Je ne suis pas vraiment dépaysée ! :

Chez moi, il y a une place d’armes (faudra que je me renseigne pour savoir s’il y a eu des places d’armes à toutes les époques !!!), sur laquelle on a posé des pavés, qui est juste devant la cathédrale à laquelle on a refait une petite beauté, donc masquée par les échafaudages ! Et bien, Metz, c’est  un peu comme à la maison ! Ci-dessous, la preuve par l’image :

La place d'armes...

et ses pavés...

La cathédrale et ses échafaudages !

• Deuxième constat : ici, aussi, y’a des bretzels !

Un petit bretzel ?

Comme à Nancy, on peut acheter des bretzels (j’avais découvert ça sur le marché de Noël l’année dernière)…

La seule différence, c’est qu’ici, ils sont plus petits !

Vendredi, je partirai à la recherche d’énormes bretzels à grignoter ! Si j’en trouve un, je vous ferai la comparaison en photo, vous allez comprendre pourquoi je suis un petit peu déçue…

• Troisième et dernier constat de la journée : Les feuilles mortes ont une drôle de façon de tomber :

Au pied de mon arbre...

Révolutionnaire pour les balayeurs municipaux… A Metz, ils ont planté une espèce d’arbre dont les feuilles ne tombent pas sur la route ou le trottoir, mais bel et bien au pied du tronc ! La classe, non ?

Allez ! A demain !

XOXO

K.

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Depuis toujours, une légende est entretenue… La légende qui dit qu’au Nord, il fait froid et qu’au Sud, le soleil brille… Bon, d’accord, il paraît que Metz, c’est pas au Nord… C’est à l’Est !

N’empêche, ci-dessous, la preuve par l’image, certifié Météo France (en grêve au moment où j’écris ces quelques lignes…) :

Et là, on la voit pas la démarcation Nord/Sud, peut être ?

Et toc ! Non mais !

Bisous

K.

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Ca y est ! Nous y sommes…
Mon amoureux a fini sa journée de travail. Je peux donc le dire : Nous sommes officiellement en vacances pour une petite semaine. Semaine tant attendue !
Nous allons préparer notre grosse valise, remplie de pulls (il paraît qu’on se pèle là-bas !), de livres que je ne trouverai pas le temps de lire, et quand le réveil sonnera demain matin, une journée de voiture nous attendra…

Oui, les joies des vacances !

Voilà donc l’endroit où nous allons nous rendre demain…

C’est le petit point rouge sur la carte qui positionne la ville de Metz, chef-lieu de la Moselle, France.

Moi, j’étais comme vous avant… Metz, je ne savais même pas où c’était. Et un jour, ma cousine adorée a décidé de partir y vivre.

Et là, je me suis dit :  » Y’avait Caen, Quimper ou Lille aussi, dans le style je déménage vachement loin  » ! Et puis, quitte à partir loin, autant partir au soleil… Et bien, non ! Il semblerai que le bonheur de ma cousine adorée soit en Moselle, au pays où il pèle !

Donc, parce qu’elle est partie vachement loin et parce qu’elle me manque horriblement, on prend les pulls et on « monte » dans le Nord (Gla, gla…). Enfin, on sera monté après plus de 8 heures de route !

Et puis, on va voir le petit Lucas (alias Lulu !) à qui on va faire des tonnes de mamours (mon amoureux est d’accord, il sera pas jaloux). Et ça, ça me rend heureuse !

L’appareil photo sera du voyage donc, si je peux vous faire découvrir Metz, chef-lieu de la Moselle, en photos et en quelques commentaires, je le ferai avec plaisir.

En attendant, je vais faire ma valise !

XOXO

K.

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Le rendez-vous du samedi matin, pour tous les passionnés de valeurs vraies et authentiques que nous sommes, c’est le marché.

Chaque samedi, nous prenons donc notre petit cabas en paille pour nous aventurer dans les rues ventées de notre cité à la recherche du met rare et délicieux que nous dégusterons durant le week-end. Dans ce blog, j’ai envie de vous faire découvrir les meilleurs étals du marché du samedi, ou du moins ceux que, mon amoureux et moi, aimerions vous conseiller ! Certes, mon pays étant une référence internationale dans la grasse gastronomie, les conseils et bonnes adresses que nous vous donnerons ne conviendront absolument pas aux végétariens et végétaliens. Mais peut être ces derniers apprécieront nos références en fruits et légumes ! Bref, nous ferons en sorte qu’il y en ai pour tout le monde !

Notre marché, un des plus beaux marchés de plein vent, investit chaque samedi le bourg et la cité de notre ville ! Il est dispersé sur chaque place du centre, et est là chaque semaine qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige… C’est l’endroit incontournable où il faut être.

Pourquoi ? En premier lieu car c’est le lieu où vous trouverez tout ce qu’il vous faut en matière de produits frais et/ou de produits du terroir. Ensuite, c’est le lieu où vous pourrez trouver le tout « ma ville », car l’important n’est pas forcément de « faire » le marché, l’important c’est d’y être ! Enfin, pour celui qui aime être vu… Et moi, j’avoue que j’aime bien regarder les gens, alors autant vous dire que j’en vois des chose sur le marché le samedi matin ! Au point parfois de connaître les habitudes de gens que je ne connais pas ! Je vois des gens qui discutent, qui s’évitent, qui font demi-tour, qui font de la politique, qui rient, qui refont le monde et, bien sûr, qui entretiennent les rumeurs.

C’est aussi l’endroit incontournable pour les concours de choses à roulettes, que je classerai en plusieurs catégories : poussette pour enfant, poussette de marché, chariot roulant… Bref, le samedi matin, tout roule, au grand détriment des piétons qui eux, ne roulent pas, non, mais essaient de se frayer un passage entre deux poussettes s’arrêtant au beau milieu de la rue piétonne… Gens pressés, s’abstenir de marché !

Notre premier conseil pour ce premier samedi sera donc de vous inciter à vous munir d’une chose à roulette, celle que vous voulez, celle qui vous sied le mieux ou qui vous sera la plus utile, pour déambuler comme tout le monde dans les rues qui assurent la jonction entre deux places marchandes et, si par hasard nous nous y croisions, vous auriez de surcroit le plaisir de vous y arrêter en plein milieu, de façon à créer un charmant petit embouteillage…

Endroit incontournable donc, car il est l’occasion de revoir ceux que vous n’avez pas vu depuis un moment, ou de voir ceux que vous avez l’habitude d’y voir chaque samedi. Il suffit pour cela de se poster à un endroit stratégique, que vous aurez pris le temps de choisir… Il s’agit généralement d’une terrasse de café plutôt bien exposée où vous prendrez plaisir à savourer une boisson chaude (café, thé, chocolat…) et à voir les gens déambuler. Si vous êtes un lève tard, vous pourrez remplacer bien sûr la boisson chaude par un petit apéritif, dans ce cas, nous appellerons cette fin de matinée « apéro-marché » !

Est-il nécessaire de vous dire que le marché est bien plus agréable au printemps et en été plutôt qu’en automne ou en hiver ? Les circonstances font que nous sommes en octobre, je vous ferai donc découvrir le marché en automne, au moment où les feuilles et les marrons tombent. Mais quelle que soit la saison, j’aurai plaisir à vous le faire découvrir !

XOXO

K.

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Je présageais pourtant le pire pour ma journée… Pas envie d’aller bosser… Le comble aura quand même été d’être enfermée dans un bureau orienté plein Nord alors que le soleil brillait fort dehors…

Mais aujourd’hui, c’est la crise : Yahoo titre « Paris réfléchit à une nouvelle initiative face à la crise », le CAC 40 a chuté de 10% aujourd’hui (-7,27% à la fermeture, ouf, mais chute historique quand même…), « Le Monde.fr » envoie des dépêches à longueur de journée pour nous tenir informé que le monde va mal (plus mal qu’avant? vraiment ?), les célébrités se montent en coalition pour inciter les américains à voter, Barack Obama serait handicapé par le vote racial (ben wai, il paraît… autant dire que l’inquiétude demeure), le prix Nobel de la paix vient d’être décerné (non, pas à Ingrid…), on dit que c’est un vendredi noir…

Mais c’est vendredi ! Et qui dit vendredi dit fin de semaine et donc début de weekend.

Finalement, cette journée n’a pas été si critique : un petit verre de blanc de Gascogne en fin de journée en terrasse d’un troquet, une petite visite à la librairie du coin de la rue, un livre acheté (je vous raconterai !), et un bouquet de roses rouges offert par mon amoureux ! Le monde est en crise, c’est une journée noire et bizaremment, dans ma petite ville de province, tout cela semble si loin…

Bon week end !

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je me souviens encore…quand tout nous semblait possible…on jouait dehors…on se foutait d’être crédible si un jour on me demandait…quel était le plus beau moment de ma vie oh c’était si différent…pas besoin de montrer qui on était…c’était…oh tellement plus convaincant…et pourtant on jurait de ne jamais…devenir comme il sont on caressait nos rêves…on en avait du talent…aujourd’hui on crève …parce qu’on n’a pas eu le bras long si un jour on pouvait m’rendre…l’illusion du plus beau moment de ma vie oh c’était si différent…comme on ignorait l’existence du regret…c’était…oh tellement plus convaincant…et pourtant on jurait que jamais…on s’intègrerait… oh j’aimais cette insolence…
même si on abusait de l’indulgence…c’était…oh c’était différent…et pourtant on jurait de ne jamais…devenir comme ils sont je me rappelle que le temps m’agaçait…et je m’rappelle de ces gens qui passait…je les voyais en couleur…rouge était comme ma sœur que j’imitais…bleu comme à peu près tout ce que je détestait…puis le rose c’était toi…comme si t’y était déjà je me souviens encore…quand on vivait à outrance…des fois on perdait le nord…au moins c’était plus intense oh c’était (refrain)

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Dimanche matin, 9h42, rituel du petit déjeuner avec mon amoureux… Café, jus d’orange, pains au chocolat et pains au lait, confortablement installés dans le canapé… Une visiteuse inattendue par la fenêtre… Je vous laisse le soin de découvrir la belle montgolfière qui a partagé notre petit déjeuner.  Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de dégainer l’appareil photo dès que nous l’avons aperçue. Impressionnante de gigantisme, j’avais le sentiment qu’il suffisait de tendre la main pour la toucher, tellement elle semblait proche !

Il faisait 2° et je pense qu’il devait faire un peu moins dans la nacelle, malgrè la chaleur générée par les brûleurs. Mais quand même, comme j’aimerai voir ma ville d’en haut !

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Bon, alors je voulais rétablir une vérité : Mélanie m’a sauvée sur l’histoire de la fin de la boîte de mouchoirs en papier. Comment ? Elle a héroïquement récupéré la boîte de mouchoirs en papier qui m’attendait sur mon bureau pour me l’amener dans la caverne où j’étais en train d’agoniser !

Elle est pas chouette ma copine ? Ben si !

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